jeudi 8 octobre 2015

Jeunesse


Par José Mercês Neto

Du temps où nous étions jeunes, 
quand tu faisais des promesses afin que 
je t’aimasse, il ne reste rien.
Sauf un souvenir, sans regrets, 
sans chagrins, et la certidude
qu’il a effacé ton visage et tes promesses.

4 commentaires:

  1. Bonjour, José. Je suis contente de te voir si libre pour s'exprimer. Voilà que Dis-Donc! fait partie de toi et que toi, tu fais partie de nous. Merci d'être si proche et de nous apporter un peu plus de ton bonheur à chaque semaine. Bise. Carmen

    RépondreSupprimer